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La plupart des gens veulent manger sainement, mais ont du mal à rester concentrés et à éviter les aliments malsains au quotidien. Si vous faites un sondage rapide au bureau, vous constaterez probablement que la plupart des personnes qui s’y trouvent veulent manger mieux, mais n’ont ni le temps ni l’énergie pour le faire. De plus, les événements sociaux sur le lieu de travail sont pleins de pressions pour manger des aliments malsains, et même au quotidien, il y a généralement une ou deux pâtisseries qui flottent autour d’un travailleur bien intentionné. Tous ces éléments contribuent à rendre le lieu de travail malsain, mais ils sont tous faciles à éviter. La clé est le tact et l’esprit d’équipe.
Mettre des aliments sains à disposition
Premièrement, les aliments sains doivent être disponibles. Il ne sert à rien de dire aux gens » ne faites pas ceci, ne faites pas cela » car cela crée une atmosphère négative, où chacun se sent châtié et coupable. Au lieu de cela, faites de la nourriture saine l’option la plus facile.
Avec une cafétéria
Créer un comité pour générer un consensus sur les alternatives saines qui pourraient être ajoutées au menu. Ils pourraient également trouver les options malsaines que personne n’aime vraiment, mais qui sont pourtant consommées par commodité (gâteau médiocre, frites froides), et les remplacer. La clé est de n’ajouter que des options que les gens veulent manger, et non de remplir le menu avec des choses que personne ne commandera.
Commander à l’extérieur
Demander aux restaurants locaux proposant des options saines (les cafés branchés, ainsi que les restaurants végétariens, japonais ou grecs sont des options courantes) une pile de menus à emporter, et les distribuer au bureau de chacun, ou laisser un éventail dans les zones communes. Une méthode similaire consisterait à décider d’un jour par semaine où vous vous cotiserez tous pour obtenir d’un restaurant un repas fixe (ou un service de restauration) pour tous. S’il est bon, les gens se souviendront du restaurant et commenceront à y commander. Aucune culpabilité requise, aucune restriction.
Déjeuners à emporter
Enfin, si les gens préfèrent préparer leurs propres déjeuners, ils pourraient former un groupe de déjeuners à emporter sur le thème de l’alimentation saine. Chaque semaine, deux ou trois personnes apportent un plat sain en portion suffisamment grande pour tout le groupe. Pour encourager les non-chefs à se joindre au groupe, il n’y a aucune raison de ne pas autoriser les aliments sains préemballés de marques.
Rendre les aliments malsains indisponibles
Il y a souvent une pression sociale pour manger sur le lieu de travail. Si votre bureau a pour tradition que les gens apportent des beignets ou des pâtisseries à partager, la situation peut être délicate à éviter. Il peut être préférable d’envoyer un rappel doux des alternatives saines, et d’éviter les sentiments blessés.
Cependant, s’il y a une véritable poussée de santé à l’échelle du lieu de travail, un simple mémo peut suffire à garder les cupcakes hors de la salle de pause. Encore une fois, évitez les « ne pas » et les « ne devrait pas », en remplaçant par des idées et un appel à des opinions sur ce qui serait bienvenu à la place des sucreries. Une fois que certaines opinions ont été recueillies, un mémo secondaire recueillant les idées des gens peut être envoyé un mois ou deux plus tard comme un doux rappel positif.
Les distributeurs automatiques et l’auto-sabotage
Si votre bureau a des distributeurs automatiques remplis de soda et de chips, ne vous auto-sabotez pas en les gardant. Si possible, retirez-les ou remplacez leur contenu par des snacks non transformés tels que des noix, des fruits secs ou des crackers complets. Les sodas peuvent être remplacés par des eaux aromatisées provenant des mêmes entreprises. Si vous ne pouvez pas vous débarrasser des distributeurs automatiques ou les changer, il suffit de les débrancher pendant les heures où les gens mangent par ennui (milieu de matinée et milieu d’après-midi). Une autre option consiste à faire une collecte au bureau de 2 € par semaine pour commencer à garder des pommes, du beurre de cacahuète et des bouteilles d’eau dans la salle de pause.
Bien sûr, il n’est pas nécessaire que ce soit des pommes et du beurre de cacahuète, comme toujours, la clé est de laisser tout le monde s’exprimer et de parvenir à un consensus. Les gens choisiront une option saine si elle est disponible et a un goût aussi bon que les options malsaines. Faites confiance à vos collègues ou employés et incitez-les doucement à créer un lieu de travail plus sain pour eux-mêmes.